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Le 04 avril 2012
Le gendarme de la Bourse estime que les clients devraient être davantage informés lors de la souscription de placements financiers.
Le gendarme de la Bourse, l'autorité des marchés financiers (AMF), estime que les clients devraient être davantage informés lors de la souscription de placements financiers.
L'AMF dit que les clients ne sont pas suffisamment informés lors de la souscription de placements financiers, à l'occasion du lancement de son observatoire de l'épargne.
L'AMF, qui a procédé à une série de visites "mystères" dans certains établissements de grands réseaux bancaires, note que les frais n'ont été présentés au client que dans 4 cas sur 10, et que dans 9 cas sur 10 ils l'ont été de manière incomplète.
Dans ce contexte, l'AMF, qui remarque que les Français se détournent de plus en plus des actifs boursiers considérés comme trop risqués, a souhaité fournir des repères chiffrés aux épargnants.
Il ressort de cette étude que le coût d'un ordre d'achat d'actions est 40% moins cher par internet que par téléphone et deux fois moins cher via un site qu'auprès d'un chargé de clientèle travaillant dans une agence bancaire.
...
La suite [ici sur le site de Libération->http://www.liberation.fr/economie/01012400398-les-conseillers-bancaires-....
Le gendarme de la Bourse, l'autorité des marchés financiers (AMF), estime que les clients devraient être davantage informés lors de la souscription de placements financiers.
L'AMF dit que les clients ne sont pas suffisamment informés lors de la souscription de placements financiers, à l'occasion du lancement de son observatoire de l'épargne.
L'AMF, qui a procédé à une série de visites "mystères" dans certains établissements de grands réseaux bancaires, note que les frais n'ont été présentés au client que dans 4 cas sur 10, et que dans 9 cas sur 10 ils l'ont été de manière incomplète.
Dans ce contexte, l'AMF, qui remarque que les Français se détournent de plus en plus des actifs boursiers considérés comme trop risqués, a souhaité fournir des repères chiffrés aux épargnants.
Il ressort de cette étude que le coût d'un ordre d'achat d'actions est 40% moins cher par internet que par téléphone et deux fois moins cher via un site qu'auprès d'un chargé de clientèle travaillant dans une agence bancaire.
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La suite [ici sur le site de Libération->http://www.liberation.fr/economie/01012400398-les-conseillers-bancaires-....
Référence:
Source:
- AFP