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Le 10 juillet 2013
Au regard tant de la distance de près de 600 mètres entre le local appartenant à la SCI Liberty et le projet en litige, de la situation du local et du projet, dans deux quartiers différents, que de l'absence de visibilité du projet,
Il ressort des pièces du dossier que, au regard tant de la distance de près de 600 mètres entre le local appartenant à la SCI Liberty et le projet en litige, de la situation du local et du projet, dans deux quartiers différents, que de l'absence de visibilité du projet, en dépit de son importance, à partir du local de la société requérante, celle-ci ne peut être regardée comme justifiant d'un intérêt lui donnant qualité pour demander l'annulation du permis de construire délivré en premier lieu à la SA Bouygues Immobilier.
Par suite, la SCI Liberty n'est pas fondée à soutenir que c'est à tort que le tribunal administratif de Marseille a rejeté sa demande comme irrecevable; dès lors, son appel ne peut qu'être rejeté.
Il ressort des pièces du dossier que, au regard tant de la distance de près de 600 mètres entre le local appartenant à la SCI Liberty et le projet en litige, de la situation du local et du projet, dans deux quartiers différents, que de l'absence de visibilité du projet, en dépit de son importance, à partir du local de la société requérante, celle-ci ne peut être regardée comme justifiant d'un intérêt lui donnant qualité pour demander l'annulation du permis de construire délivré en premier lieu à la SA Bouygues Immobilier.
Par suite, la SCI Liberty n'est pas fondée à soutenir que c'est à tort que le tribunal administratif de Marseille a rejeté sa demande comme irrecevable; dès lors, son appel ne peut qu'être rejeté.
Référence:
Référence:
- Conseil d'État, 1re et 6e sous-sect. réunies, 5 juill.2013 (req. N° 354.026), inédit